Les bois les plus couramment utilisés sont : l’épicéa, le pin, le bouleau.

Le bois a un impact minimal sur l'environnement : l'énergie utilisée pour sa production est inférieure à celle stockée dans le bois par photosynthèse lors de sa croissance.

L'apparence et la résistance du bois dépendent de l'essence choisies, des défauts présents, des méthodes de séchage et sciage.
Le grain du bois est produit par les cernes de croissance qui résultent du changement saisonnier annuelle et permettent de déterminer l'âge de l'arbre (en début de saison la croissance est rapide et la couleur du bois est claire, en fin de saison, la croissance est lente et les cernes deviennent sombres). Les cernes sont croisées par des rayons qui partent du centre de l'arbre et le structurent. Cernes et rayons transportent les eau, nutriments et les déchets. Avec la maturité le centre de l'arbre s'assombrit. Cette partie s'appelle le duramen (ou cœur du bois). La partie proche de l'écorce est plus légère est s'appelle l'aubier. Le pin nordique croît lentement et offre un matériau à grain fin, la partie duramen y est importante : c'est donc un bois très résistant à l'eau et au vieillissement.

Les arbres sont sciés tangentiellement (débit sur dosse) ou radicalement (coupe hollandaise ou à faux quartier). Le débit sur dosse est plus efficace et économique. L'autre solution produit un bois plus résistant à l'usure et un grain plus uniforme.
Une planche est coupée dans le sens de la longueur de l'arbre.  La conception des assemblages a évolué afin d'améliore la résistance des produits.

Le bois est un produit non polluant, économique énergétiquement, recyclable et qui présente une très bonne biodégradabilité. Il peut être utilisé en fin de vie comme combustible.

Les systèmes de certification  PEFC (Pan European Forest Certification) et FSC (Forest Stewardship Council) contrôlent le circuit du bois à l'usine jusqu'à son usage final. Seule 10% des forêts mondiales sont certifiées. 

Matériaux de substitution :